Un texte avec le mot 'PROMIS' en caractères en forme de ballons argentés, suivi de 'Y'A UNE LOGIQUE.' en blanc sur un fond beige.
  • TWAAL, c’est un mouvement thérapeutique conscient qui relie le mental, le corps et l’action ; entre psychologie, sophrologie et sciences cognitives. Mais surtout, c’est une manière de se comprendre dans son monde, pas juste de “changer” quelque chose en soi.

    Parce que non, tout n’est pas à revoir. Souvent, il s’agit plutôt d’ajuster. De (re)créer le dialogue entre ton monde intérieur et ton monde extérieur. De retrouver une cohérence entre ce que tu vis, ce que tu ressens, et la manière dont tu y réponds. C’est ça, le cœur de TWAAL : comprendre, ressentir et agir — mais dans un sens conscient, humain, et réaliste. Pas dans la performance, mais dans la justesse. Pas dans la transformation, mais dans l’ajustement conscient.

  • Comment tu comprends, et comment tu te comprends.

    Comprendre, c’est la première étape. Mais c’est comprendre au sens large.

    C’est comprendre ce qui se joue en général, les influences, les pressions, les schémas dans lesquels tu grandis sans même t’en rendre compte — et comment toi, tu y réponds. C’est aussi observer tes mécanismes mentaux, les façons de penser, d’interpréter, de réagir — qui ne sont pas juste “toi”, mais souvent ce que ton cerveau a appris à faire pour s’adapter à ton environnement.

    Tu sais, ces réactions que tu as “sans réfléchir” ? Ce besoin de tout anticiper pour ne pas être pris(e) de court. Ou cette habitude de fuir dès que quelque chose devient trop intense. Ce réflexe de dire “oui” par peur de blesser ou d’être mal perçu(e)… Souvent, ce sont des mécanismes appris, pour te protéger à un moment. Mais ils ne sont pas toujours adaptés à ton présent. Et tant que tu ne les comprends pas, ils continuent à agir sans toi.

    Comprendre, dans son sens large, c’est remettre du sens là où tu agis par automatisme. C’est reconnaître le lien entre toi et le contexte, entre ton histoire et ton fonctionnement. Et les neurosciences le confirment : agir sans comprendre, ça ne tient jamais longtemps.

  • Quand ton corps te parle, écoute-le.

    Ton corps parle tout le temps. Il dit ce que ton mental ne formule pas encore. Une boule dans la gorge quand tu retiens trop, un ventre qui se noue avant un évènement, ou ce cœur qui s’emballe quand tu veux “bien faire”.

    Le corps, a son langage. Et ignorer ses signaux, c’est te mettre dans une position inconfortable.

    C’est pour ça que la dimension psychocorporelle est essentielle. Parce que ton corps et ton mental sont en dialogue, tout le temps. Quand tu respires différemment, ton cerveau s’apaise. Quand tu changes ta posture, tu changes de position mentale (dos droit > confiance). Et quand tu comprends une émotion en réponse à une situation ton corps la relâche (tu « digères » enfin cette situation, tu reprends de l’appétit).

    Le mental agit sur le corps, le corps agit sur le mental. Tu ne peux pas vraiment prendre soin de l’un sans l’autre.

  • Donner une forme au réel.

    Agir, ce n’est pas tout changer. Agir, c’est ajuster.

    C’est remettre du mouvement là où, parfois, ton mental ou ton corps s’étaient figés. Et ce mouvement, il ne se fait jamais dans le vide : il se fait dans ta vie, au milieu des autres, des imprévus, des interactions, de tout ce qui t’entoure.

    Parfois, agir c’est juste oser dire non, là où tu disais toujours oui. C’est choisir différemment cette fois - parce qu’autour de toi, rien n’a changé. Marcher dix minutes seul(e) quand ton esprit sature. Oser dire ce que tu ressens, sans t’excuser de penser. Changer la manière dont tu t’adresses à toi dans ta tête… tout en continuant à évoluer au milieu des autres.

    C’est ça, agir, des micro-ajustements faits avec conscience, dans le réel.
    C’est ramener de la conscience dans le concret, pour que ton équilibre ne reste pas une idée, mais devienne une expérience.

    Parce que tu ne peux pas tout contrôler, ni tout transformer.
    Mais tu peux créer à partir de toi — avec ce que tu as compris, ressenti, intégré — dans ton contexte, dans tes relations, à ton rythme. Et c’est ce qui donne au réel la possibilité d’exister autrement.